C’est une autre bonne nouvelle pour la diplomatie ivoirienne. Après l’annonce de l’annulation du mandat d’arrêt émis par la justice Burkinabè contre Guillaume Soro, c’est à la police internationale, Interpol de rejeter la demande du Burkina.
S’appuyant sur l’article 3 de sa constitution, Interpol, la police des polices, a refusé de valider le mandat d’arrêt émis par le Burkina contre le président de l’assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Soro.
L’article 3 en question stipule :
« Toute activité ou intervention dans des questions ou affaires présentant un caractère politique, militaire, religieux ou racial est rigoureusement interdite à l’Organisation.«
La décision de la police des polices a été notifiée aux autorités du Burkina le 25 avril 2016 c-a-d trois jours avant la décision d’annulation de la cour de cassation.
OEIL D’AFRIQUE